Etika info 09 - Februar 2001

, von Jean-Sébastien Zippert

En vue du deuxième produit Alterfinanz

Alterfinanz a mené une enquête auprès des banques

Dans le Alterfinanz-Info précédent, page 6 »Neue ökologische Geldanlagen» nous avions rapporté que Alterfinanz était en train d’évaluer la mise en place d’autres mécanismes d’épargnes alternatifs et notamment celui d’un fonds d’investissement privilégiant des prises de participation à caractère social et écologique.

Dans ce contexte nous souhaitions mieux savoir quels produits financiers éthiques ou écologiques existent d’ores et déjà sur le marché luxem-bourgeois, en particulier dans le domaine des fonds communs de placement et/ou des SICAV.
Pour ce faire, un questionnaire a été envoyé fin octobre 2000 à 208 banques établies au Luxembourg. Depuis lors, nous avons reçu 16 réponses dont 3 positives, les autres étant toutes négatives. Actuellement trois banques seulement nous ont fait savoir qu’elles distribuent des fonds éthiques. Encore ces fonds ne sont ils guère distribués au marché luxembourgeois.

 La Deka International S.A. distribue le «Deka Lux Pro» en Allemagne

 La Bankpyme, Succursale de Luxembourg, distribue le «Green Fund» en Espagne

 La Deutsche Commerzbank distribue le «AlSukoor European Equity Fund» (fonds islamique) en Allemagne

Nous avons, par ailleurs, connaissance du fait que DEXIA distribue le Dexia Worldfare Equities L World Welfare, et que la Banque Générale de Luxembourg distribue le SAM Sustainability Index Fonds.

Jenseits der Grenzen

Öko Titel haben gutes Wachstumpotential

Zum Erfolg alternativer Aktien und dem Einfluss der Anleger veröffentlichte das Magazin natur & kosmos in seiner Dezember 2000-Ausgabe ein Interview mit der Produktmanagerin für ethisch-ökologische Fonds bei der BFG Invest, Andrea Ferch. Wir danken dem Verlag für die freundliche Genehmigung der Veröffentlichung.
n&k: Im Gegensatz zu fast allen anderen Aktiensegmenten erleben viele Öko-Aktien derzeit einen regelrechten Boom. Woher kommt dieser Aufwärtstrend?
Ferch: Ich sehe diesen Aufwärts-trend vor allem bei alternativen Energiewerten. Aktuell ist das durch den Ölpreis bedingt. Wegen der Endlichkeit fossiler Ressourcen, aber auch durch die Klimaproblematik und die staatliche Förderung alternativer Energien, hat dieser Markt langfristig ein gutes Wachstumspotenzial.
n&k Wie schätzen Sie die weitere Entwicklung ein? Können Anleger mit Öko-Aktien und umweltorientierten Fonds langfristig gute Gewinne machen?
Ferch: Der Markt ist zwar ein bisschen heiß gelaufen, weil sich viele Anleger auf alternative Titel gestürzt haben, aber ich glaube nicht, dass diese Aktien insgesamt überbewertet sind. Manche Anbieter von Solarkomponenten kommen zum Beispiel gar nicht mehr mit der Produktion nach, so schnell steigt die Nachfrage. Ein Automatenhersteller wie Tomra kann durch die Einführung des Dosenpfands mit einem Wachstumssprung rechnen. Das drückt sich sofort in steigenden Kursen aus.
n&k: Worauf sollte ein Anleger besonders achten, wenn er sich zu einer grünen Geldanlage entschließt?
Ferch: Im Prinzip auf das Gleiche wie bei einer herkömmlichen Aktie: Hat das Unternehmen überdurchnittliche Gewinnaussichten und einen Technologievorsprung? Wenn ein Anleger sich nicht sicher ist, sollte er sein Geld in einem ethisch-ökologischen Fonds anlegen, da nimmt der Fondsmanager ihm die Entscheidungsfrage ab, in welche Aktie er investieren sollte und welches der richtige Zeitpunkt für Kauf und Verkauf ist.
n&k: Der Erfolg grüner Aktien führt auch dazu, dass Unternehmen mehr auf die Umweltfreundlichkeit ihrer Produkte und Produktionsverfahren achten. Welchen Einfluss haben dabei die Anleger, welchen die Fondsmanager?
Ferch: Der einzelne Anleger hat wie überall auf der Welt wenig Einfluss, wenn aber viele ihr Geld nach ethischen und ökologischen Kriterien investieren, kann man über die Volumina der Fonds schon mehr Einfluss gewinnen. Und diese Möglichkeit nutzen die Fondsmanager auch.

Au delà des frontières

La banque Triodos: Le métier de banquier avec d’autres valeurs

’La responsabilité sociétale des banques face à l’exclusion financière’ - était le titre d’un colloque qui a été organisé par le Reseau Financement Alternatif en Belgique en décembre 2000. Lors de ce séminaire Monsieur Pierre Aeby, directeur de la banque Triodos a présenté les réflexions de sa banque quant au sujet énoncé. Nous reproduisons les passages essentiels de son intervention

Une réflexion éthique sur la destination de notre argent peut nous apprendre beaucoup sur les effets de notre comportement dans la société. Vu sous cet angle, l’argent constitue en quelque sorte le miroir des normes et valeurs humaines qui déterminent notre action.
Fondée en 1980, la Banque Triodos apporte dans ce contexte une nouvelle dimension au métier de banquier. Initiative purement privée, d’origine néerlandaise, elle se développe comme banque internationale. Elle est établie aux Pays-Bas, en Belgique et au Royaume Uni. Elle s’est donnée pour mission de participer à une rénovation de la société se fondant sur les principes que l’être humain a le droit de se développer librement, que tous les être humains sont égaux et l’être humain est responsable des conséquences de ses activités sur son prochain et la terre.
Son action est fondée sur une éthique de changement. Elle finance des projets qui apportent une plus value à long terme pour la société. Elle s’est spécialisée dans trois domaines: la culture (l’enseignement, les arts plastiques, les arts de la scène), le développement social (le secteur non marchand, l’économie sociale, la lutte contre l’exclusion et la pauvreté, ...) et l’environnement (l’agriculture biologique, les énergies durables, ...).
La Banque Triodos a développé des produits d`épargne éthique et d’épargne solidaire en garantissant à l’épargnant que son argent sera investi dans des projets qui respectent l’homme et l’environnement. La transparence sur l’usage de l’argent est garantie.
Elle a développé des fonds communs de placement qui sont investis dans le secteur de l’environnement.
En collaboration avec des fondations et des ONG elle a développé un spécialisation d’investisseur dans des institutions de micro-crédits dans les pays du Sud qui luttent contre la pauvreté. Elle apporte à ces institutions, outre une participation financière, une aide dans la gestion et la formation du personnel.
La Banque Triodos participe également à des projets pilotes en Europe pour transposer cette formule de micro-crédits qui a réussi dans les pays du Sud.
A côté de l’activité bancaire classique, elle a développé un département de recherche sur l’approche des entreprises en matière de développement durable. Elle analyse des sociétés en fonction de critères sociaux et de critères environnementaux. Elle a créé ses propres fonds communs de placement en bourse qui répondent à des critères éthiques rigoureux. Elle conseille également des banques, des gestionnaires de fonds et des particuliers qui souhaitent introduire des éléments éthiques dans leur politique d’investissement.
Toutes les activités de la banque sont fondées sur des principes de gestion économiquement viables. Son action ne se situe pas dans le domaine caritatif mais dans une approche économique soutenable pour tous. L’activité économique doit rester au service de la société et toutes les personnes doivent y trouver leur place.
Pour la Banque Triodos, la rentabilité n’est pas un objectif en soi mais un signe de bonne gestion.
Dans la société d’aujourd’hui, où l’objectif de la gestion des entreprises sous la pression des marchés vise principalement à augmenter la richesse des actionnaires, cette approche contraste et interpelle les consommateurs.

Alterfinanz auf der Suche

Neue ökologische Geldanlagen

Im Rahmen eines Studientages Ende März 2000 hatte Alterfinanz den Referenten für ethisch-ökologische Geldanlagen Max DEML nach Luxemburg eingeladen, mit dem Ziel mehr über «ethische» Finanzprodukte, wie z.B. Investmentsfonds zu erfahren. Wenngleich Alterfinanz nun (noch) kein ausgereiftes Konzept zu einem Ethik-Investmentfonds auf den Tisch legen kann, so möchten wir einige Erkenntnisse des Seminars veröffentlichen.
Beschäftigt hat es Alterfinanz schon länger: die Suche nach einem zweiten «ethischen» Produkt, das zusätzlich zum «Compte Epargne Alternative», dem alternativen Spar- und Kreditmechanismus, angeboten werden kann. Positive Erfahrungen aus dem Ausland über «Umwelt- und Ethik-Fonds» haben uns dabei inspiriert. Schlagzeilen wie «Öko-Aktien überzeugen an der Börse» oder «Immer mehr Anleger wagen sich ins Grüne», zeigen, dass das Vorurteil, grüne Aktien brächten weniger Rendite, nicht unbedingt stimmt.
Die Wirtschaft beruht im wesentlichen auf unternehmerischen Initiativen von Menschen resp. den Unternehmen, in denen sie tätig sind. Solche Initiativen können nur verwirklicht werden, wenn sie für ihre Aktivitäten Kapital in Form von Krediten oder auch Eigenmittel zur Verfügung haben. Kredite werden in der Regel nur vergeben, wenn ein Teil Eigenmittel als Risikokapital eingebracht werden kann. Ein heute gängiger, und sogar vom Staat über die sogenannte »Loi Rau» geförderter Weg ist der der Beteiligung an Unternehmen in Form von Aktien und anderen Wertpapieren. Hierfür hat sich gerade in den letzten Jahren ein riesiger Markt entwickelt.
Max DEML, Chefredakteur des Börsendienstes ÖKO-INVEST in Wien und Mitherausgeber des Jahrbuches für ethisch-ökologische Geldanlagen «Grünes Geld» (siehe Kasten) referierte über eine Reihe von Ideen und Produkte, die wir im nachfolgenden vorstellen. Als weiterer Fachmann stellte Yves Stein, in seiner Eigenschaft als Fondsverwalter der Banque Générale de Luxembourg, den Aktienfonds «SAM Sustainability Index Fonds» vor, der seit September 1999 auf dem Finanzmarkt ist.

«Investmentklub»: Einmal im Monat ist Klubabend

Der Investmentklub Austria wurde Anfang der 90er Jahre aus der Taufe gehoben, hat inzwischen über 100 Mitgliedern und arbeitet bankenunabhängig. Mit den Einlagen seiner Mitglieder werden Wertpapiere gekauft. Um Spesen zu sparen, werden die vielen kleinen Beträge als eine Summe wie bei Großanlegern addiert. Ein ehrenamtlicher Verein hat den Vorteil, dass für die Mitglieder keine jährlichen Management-Gebühren oder sonstige Kosten anfallen.
Das Wertpapier-Depot wird als Gemeinschaft geführt und 1 Anteil kostet in Östereich derzeit 30.000 Flux; es kann von einem auf den anderen Tag verkauft werden. Investiert wird in rund zwanzig verschiedene Titel in 8-10 Ländern.
Beim Aktienkauf gelten positive Auswahlkriterien, z.B. sparsamer Einsatz von Ressourcen und negative, d.h. es werden keine Aktien von Unternehmen der Rüstung, Atom- und Gentechnologie gekauft. Während des monatlich stattfindenden Klub-abend entscheiden die Anwesenden über Kauf und Verkauf von Aktien, die nicht nur an der Börse notiert sein müssen. Eine Performance von +25,5% für die ersten beiden Monate 2000 konnte der Investmentklub Austria vermelden. Vor allem mit den Aktien der Firma Tomra Systems (+ 49%) konnten enorme Kursgewinne verbucht werden (vgl. Öko-Invest, Nr. 207/00, März 2000). Die an der Börse von Oslo und seit 1996 auch in Deutschland notierten Aktien der norwegischen Firma Tomra Systems zählen zu den international beliebtesten grünen Aktien. Tomra ist der weltweit bedeutendste Hersteller von Flaschenrücknahmemaschinen.
Einschätzung: Obwohl wir die Idee des Investmentklubs sympathisch finden und man bei den Diskussionen über das Für und Wider von Aktienverkäufen viel lernen kann z.B. über ökologische Kriterien bei der Bewertung von Unternehmen, hat sich Alterfinanz entschieden, den Investmentklub abzulehnen. Er wendet sich an einen kleinen Kreis von Anlegern und ist damit dem grösseren Publikum nicht zugänglich.

«Oikocredit»- Kredite für die Armen

Oikocredit (Oikos bedeutet «Haus, Gemeinschaft, Welt») funktioniert als alternatives Investmentinstrument der «Ecumenical Development Cooperative Society, EDCS» und ist genossenschaftlich organisiert. Investiert in Oikocredit haben im Jahr 1999, 461 Mitglieder, davon u.a. 411 Kirchen und Kirchenorganisationen. Durch eine Investition in Oikocredit schaffen Kirchen, non-profit organizations und Institutionen für die marginalisierte Bevölkerung in Dritt-Welt Ländern Möglichkeiten der Selbständigkeit. Als Einzelperson oder Gruppen kann man bei Oikocredit über regionale Förderkreise investieren, die die Anteile verwalten. Sie bündeln eingehende Investitionen und überweisen die Beträge monatlich an die Hauptgeschäftsstelle in Amersfoort. Über die Förderkreise erhalten Anleger auch ihr Geld wieder zurück, wenn sie es wieder benötigen. Ein Genossenschaftsanteil beträgt 500 Gulden. Die Rendite ist auf 2% für Anleger beschränkt.
Einschätzung: Alterfinanz ist dabei, Kontakt mit Oikos-Kredit aufzunehmen, um eine mögliche Zusammenarbeit auszuloten. Nach wie vor möchte Alterfinanz stärker Nord-Süd-Projekte unterstützten, insbesondere über den Mechanismus des Alternativen Sparkontos.

Lizensvergabe eines Labels. Der Panda-Bär
Der deutsche Rentenfonds «Panda Renditefonds» kam 1997 auf den Markt; der Ausgabepreis betrug DM 80,- je Anteil. Das Besondere ist, dass sowohl ein Teil des 3% igen Ausgabeaufschlags als auch die Managementgebühr der Umweltstiftung World Wide Fund For Nature (mit dem Logo des Panda-Bären) für bestimmte Projekte zugute kommt. Max Deml hob dieses Instrument vor allem wegen des Spendenmarketings hervor. Ähnliche Spendenfonds gibt es im sozialen Bereich, z.B. für SOS-Kinderdörfer oder UNICEF.

Öko - Rating: ein blauer Teufel auf einem Auto, das 15-20 Liter auf 100 km schluckt?
Umweltzeichen wie der «grüne Punkt» oder der «blaue Engel» sind im Produktbereich inzwischen einem größeren Publikum bekannt. Was seitens der Investoren immer mehr gefragt wird, ist eine Bewertung von Unternehmen unter ökologischen Gesichtspunkten: welchen Beitrag leistet ein Betrieb zum Umweltschutz, sind bestimmte Produktionsabläufe bedenklich, wie sieht die Entsorgung der Produkte aus, gibt es eine Öko-Bilanz?
Mit der «Global Reporting Initiative» wird z.Z. versucht, die Unternehmen zu bestimmten Standards der Berichterstattung zu bewegen. Wenn einmal eine allseits anerkannte «Öko-Skala» zur Unternehmensbewertung entwickelt werden kann, so Max DEML, sei zu erwarten, das das Öko-Rating auch die Aktienkurse beeinflussen wird. Weltweit gibt es inzwischen an die 30 ethisch-ökologische Bewertungsorganisationen.
Das Öko-Rating - die Bewertung von Unternehmen nach ökologischen Kriterien - ist ein junges Instrument, das in der Aktienanalyse von ethisch und ökologisch orientierten Kapitalanlegern Verwendung findet. Dieses Rating ist eine Vorbereitung von Investmentsfonds, damit Fonds-Manager wissen, was sie kaufen sollen. Beispielsweise wurden im Laufe von vier Jahren im deutschsprachigen Raum 49 börsennotierte internationale Aktiengesellschaften aus unterschiedlichen Branchen einem Öko-Rating- Verfahren unterzogen. Es beurteilt ausgewählte Unternehmen anhand der Funktionsfähigkeit ihres Umweltmanagementsystems, der Umwelt- verträglichkeit ihrer Produkte bzw. Dienstleistungen sowie anhand ausgewählter Verbrauchs- und Emissionsdaten.

Der NAX: Ethisch-ökologischer Aktienindex
Im Laufe der 90-er Jahre kamen eine Reihe von Indizes auf den Markt, die Aktien beinhalten, die nach ethisch-ökologischen Kriterien ausgewählt worden sind. Im deutschsprachigen Raum spielte 1997 der Natur-Aktien-Index NAX eine Pionier-Rolle. Er wurde in Zusammenarbeit mit der Redaktion des Monatsmagazins «Natur & Kosmos» in München und dem ÖKO-INVEST-Verlag in Wien kreiert. Der NAX enthält nicht nur Aktien aus dem Umwelttechnologiesektor im engeren Sinn, sondern verfolgt einen breiten, ökologischen Ansatz. Nach 1 1/2 Jahren liegt der von Bloomberg berechnete NAX gleich mit dem MSCI-Weltindex für Aktien, d.h. dass auch die Ökoaktien im Vergleich zu konventionellen Aktien vergleichbare oder sogar bessere Rendite bringen.
NAX-Unternehmen müssen z.B. ökologische Vorreiter in ihrer Branche sein, indem sie öko-effizient (durch Einsparung von Energie, Wasser, Rohstoffen) arbeiten und um eine nachhaltige Wirtschaftsweise bemüht sein. Hinzukommen Negativkriterien, wie z.B. der Ausschluß von umweltschädigenden Branchen wie der Atomkraft-, Rüstungs- und Tabakindustrie oder bei Verletzung von Menschenrechten, zur Anwendung. Ein ökonomisches Kriterium für die Zusammensetzung des NAX besteht darin, dass mindestens drei Viertel der NAX-Unternehmen langjährig etablierte Firmen mit einem Jahresumsatz von mehr als 100 Millionen Mark sein müssen.
Die Investmentresearch-Abteilung des imug-Instituts an der Universtität in Hannover überprüft die NAX-Titel bzw. deren Ersatzkandidaten, falls eines der Unternehmen wegen Fusion o.ä. vom Kurszettel verschwindet, auf die Einhaltung dieser Kriterien und berichtet dem rund 4-mal im Jahr tagenden NAX-Beirat.

Aktionsfonds SAM Substainability Index
Yves Stein von der BGL stellte diesen neuen Index für Nachhaltigkeit (sustainability) vor. Der Finanzbeobachter Dow Jones hat die Indexfamilie durch einen Index für Nachhaltigkeit (sustainability) ergänzt, und zwar durch einen «Dow Jones Sustainability Group Index (DJSGI), der Unternehmen anhand ihres ökologischen, sozialen und ökonomischen Potentials bewertet. Er zeigt, dass besonders nachhaltig und umweltorientiert handelnde Ak-tiengesellschaften langfristig die größten Chancen auf steigende Aktienkurse haben. Er zeichnet sich im Vergleich zu den gängigen Weltaktienmarktindizes (z.B. MSCI World) durch ein überdurchschnittliches Rendite-Risiko-Verhältnis aus.
Der neue Dow- Jones-Index, der von den 2000 marktstärksten Ak-tiengesellschaften der Welt die 225 Nachhaltigkeits-Sieger aus 68 verschiedenen Branchen und 22 Ländern aufführt, wurde entwickelt von der Sustainability Asset Management (SAM) in Zürich.
Ausblick: ist jetzt auch Alterfinanz vom Börsenfieber erfasst?

Die Mitglieder von Alterfinanz haben sich im Anschluss an den Studientag darauf geeinigt, die Möglichkeiten für eine Beteiligung an einem ethischen Fonds genauer zu prüfen. Wichtig erscheint es dabei den Akteuren, nicht nur große Aktiengesellschaften, die an der Börse notiert sind, in einem Fonds zu haben, sondern gerade auch kleineren Unternehmen in Luxemburg Risikokapitalbeteiligung anzubieten. Wir werden Sie, liebe Leserin, lieber Leser, über die weitere Entwicklung unterrichten. Vorerst bleibt es spannend!
Zu guter Letzt: Wer noch auf der Suche nach spannender Herbstlektüre rund um das Thema Ethik-Fonds ist, findet im folgenden einige Anregungen:

Was ist ein Investmentfonds?

«Ein Investmentfonds gleicht einem Paket von vielen verschiedenen Aktien und anderen Wertpapieren, an dem sich Anleger auch schon mit relativ kleinen Summen beteiligen können. Durch die Streuung auf zahlreiche Aktien in verschiedenen Branchen und Ländern wird das Risiko der schwankenden Aktienkurse minimiert. Weltweit gibt es mittlerweise schon rund 200 verschiedene Investmentsfonds, die nach ethisch-ökologischen Kriterien geführt werden. Zuweilen sind Ethik-und Umweltfonds für die Anleger profitabler als normale Investmentsfonds. Eine Ursache dafür mag darin liegen, dass es sich dabei um längerfristig orientierte Anleger handelt, die dem Umweltfonds auch in schwierigen Zeiten treu bleiben». In: Deml, Max: «Grünes Geld», S. 116.